Antonio, professeur de français, responsable de l’échange dans son bureau au collège. Antonio partage le lieu avec Inma, sa collègue de français, elle aussi impliquée dans l’échange, mais c’est aussi le bureau dans lequel Antonio s’occupe de secrétariat car il a une double casquette.

Les œuvres d’art sont nombreuses dans le lycée Puerta de la Serena car l’établissement propose aux élèves une option « art » au bac (en espagnol « bachillerato »).

À noter (au premier plan à gauche) la présence des poubelles de tri sélectif des déchets, partout présentes dans les locaux. (Piles, papier, emballages...)

La très confortable salle des professeurs.

Une autre œuvre d’art, pour orner un bureau ouvert sur le hall et servant de poste de surveillance pour les professeurs : ici, le métier de surveillant n’existe pas !

Espace où les élèves espagnols aiment se retrouver et qui longe un patio planté de palmiers...

Après deux heures de cours, Espagnols et Français font une pause « chocolate con churros »...

Puis on change de lieu pour participer à des défis sportifs tous plus originaux les uns que les autres...

Qui attrapera le plus de ballons de tailles différentes à plat ventre sur une planche à roulettes dirigée par un ou une camarade qui vous tient les pieds ?

Petite pause avant le boudin tournoyant !!!

Il s’agit de sauter vite, de sauter haut, mais surtout de sauter au bon moment...

Excellent exercice physique de coordination et d’anticipation.

Les élèves participent après à un cours de zumba intensif.

Léo est très à l’aise.

Solène également.

Les participants veulent être photographiés !

La journée de cours n’est pas terminée : Curro, professeur d’arts plastiques, fait découvrir aux élèves l’artiste Augustín Ibarrola avant de leur proposer de peindre selon leur cœur des cailloux destinés à devenir des souvenirs...

Pour terminer, les élèves espagnols animent des ateliers scientifiques auxquels participent les Français.

Du feu produit par de l’eau, des empreintes digitales révélées par une étrange fumée violette, du polystyrène qui disparaît...

Nous n’étions jamais au bout de nos surprises...